Les hommes naissent libres et égaux en droit. Après ils se démerdent.
Jean Yanne
Instructions: Prog 1 Avance de 1 pas Répète tout 5 fois Inconvénient : On rigole quand l'élève est trop près du tableau ! Prog 2 Regarde devant Si tu peux avancer d'un pas alors : Avance de 1 pas Répète tout 5 fois
Ainsi, on peut voir un algorithme comme une suite d'instructions répétitives en interaction avec le monde extérieur.
Debut : l'élève Robot tq repeter 5 fois avancer d'un pas fin_tq fin
Dans cette écriture standardisée on peut remarquer :
Avec le temps ce type de pseudo code devient lisible et compréhensible. Pourtant une représentation graphique de ce pseudo code aide encore à gagner en lisibilité :
Debut : l'élève Robot2 tq repeter 5 fois regarder devant si tu peux avancer avancer d'un pas fin_si fin_tq fin
Avec les deux exemples ci-dessus vous savez beaucoup de choses sur le pseudo code et les les logigrammes.
Les tant que et les si doivent être ouverts avant d'être fermés
Dans les logigrammes il y a 4 symboles importants:
Des connecteurs fléchés indiquent le sens de lecture et de déroulement de l'algorithme
Le petit rond noir en fin de "si" ou de "tant que" matérialise la branche de sortie : Le test n'est plus ou pas vérifié
Soit le pseudo-code suivant:
Debut : La porte tq la porte est fermée dire toc toc toc si la porte s'ouvre entrer fin_si fin_tq fin
Sur une feuille blanche réalisez le logigramme correspondant !
Expliquer le programme suivant (Donner éventuellement le pseudo-code associé)
Au cycle 4, les élèves s'initient à la programmation, en développant dans une démarche de projet quelques programmes simples, sans viser une connaissance experte et exhaustive d'un langage ou d'un logiciel particulier. En créant un programme, ils développent des méthodes de programmation, revisitent les notions de variables et de fonctions sous une forme différente, et s'entraînent au raisonnement.
Décomposer un problème en sous-problèmes afin de structurer un programme ; reconnaître des schémas. Écrire, mettre au point (tester, corriger) et exécuter un programme en réponse à un problème donné. Écrire un programme dans lequel des actions sont déclenchées par des événements extérieurs. Programmer des scripts se déroulant en parallèle. - Notions d'algorithme et de programme. - Notion de variable informatique. - Déclenchement d'une action par un événement, séquences d'instructions, boucles, instructions conditionnelles.
Jeux dans un labyrinthe, jeu de Pong, bataille navale, jeu de nim, tic tac toe. Réalisation de figure à l'aide d'un logiciel de programmation pour consolider les notions de longueur et d'angle. Initiation au chiffrement (Morse, chiffre de César, code ASCII...). Construction de tables de conjugaison, de pluriels, jeu du cadavre exquis... Calculs simples de calendrier. Calculs de répertoire (recherche, recherche inversée...). Calculs de fréquences d'apparition de chaque lettre dans un texte pour distinguer sa langue d'origine : français, anglais, italien, etc.
En 5e, les élèves s'initient à la programmation événementielle. Progressivement, ils développent de nouvelles compétences, en programmant des actions en parallèle, en utilisant la notion de variable informatique, en découvrant les boucles et les instructions conditionnelles qui complètent les structures de contrôle liées aux événements.
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En mathématiques, décrire un ensemble consiste à indiquer quels objets en font partie. Il existe plusieurs manières d'écrire un ensemble, chacune ayant ses avantages. Voici un tour d'horizon des notations les plus utilisées, du collège au lycée.
La forme la plus classique consiste à lister tous les éléments, entre accolades et séparés par des points-virgules :
Exemple :
{2 ; 4 ; 6 ; 8 ; 10}
désigne l’ensemble des cinq premiers nombres pairs strictement positifs inférieurs ou égaux à 10.
Lorsque l’ensemble contient trop d’éléments, ou est infini, on peut utiliser des points de suspension pour faire comprendre le schéma :
Exemple :
{2 ; 4 ; 6 ; 8 ; 10 ; …}
désigne l’ensemble des nombres pairs strictement positifs.
Quand on connaît le premier et le dernier terme, et qu’aucune ambiguïté n’est possible sur la régularité, on peut écrire :
{2 ; 4 ; 6 ; … ; 28 ; 30}
Cela signifie qu’on prend tous les nombres pairs de 2 à 30, inclus.
On peut aussi définir un ensemble par une propriété caractéristique que doivent vérifier ses éléments.
Cette notation utilise souvent le symbole ∈ (appartient à), accompagné d’une barre verticale ( ∣ ) signifiant "tel que" :
{n ∈ ℕ ∣ n est pair}
se lit : "ensemble des entiers naturels n tels que n est pair".
On peut aussi définir un ensemble en décrivant une formule qui donne tous ses éléments :
{2m ∣ m ∈ ℕ}
Ici, on explique que tout nombre de l’ensemble est obtenu en multipliant un entier naturel par 2.
Ces deux notations décrivent le même ensemble, mais selon deux points de vue différents :
– l’un par propriété (pair),
– l’autre par expression explicite (2m).
Voici comment traduire certaines notations ensemblistes en langage Python, ce qui peut être utile en algorithmique ou pour manipuler des ensembles en programmation.
A = {2, 4, 6, 8, 10} print(A) # Affiche : {2, 4, 6, 8, 10}
# Ensemble des 10 premiers nombres pairs B = {2 * i for i in range(10)} print(B) # Affiche : {0, 2, 4, 6, 8, 10, 12, 14, 16, 18}
# Nombres pairs inférieurs à 30 C = {n for n in range(1, 31) if n % 2 == 0} print(C) # Affiche : {2, 4, ..., 30}
# 2m pour m de 0 à 20 D = {2 * m for m in range(21)} print(D) # Affiche : {0, 2, ..., 40}
Gardez Windows propre!
Un lien vers Ccleaner est disponible dans la boite à outils, du menu "informatique"...