Il semble parfois que Dieu, en créant l'homme, ait quelque peu surestimé ses capacités.
Pour dessiner un carré avec le module turtle la dernière fois, nous avons répéter 4 fois les deux premières instructions:
from turtle import *
for i in range(4):
forward(100)
right(90)
carre.py
L'instruction for i in range(4)
est le début d'une boucle qui sera exécuté 4 fois.
Et tout le contenu indenté (décalé de 4 caractères) qui suit est à l'intérieur de la boucle.
En utilisant au moins une boucle :
Ce dessin, assez sympathique n'est pas? est réalisé avec Python, et le module Turtle en seulement 4 lignes !
Code Python traduit en HTML:from turtle import *
for i in range(100):
forward(100-i)
right(90)
spirale.py
En utilisant cette techniques amusez vous avec vos quatre figures précédentes !
Plus bas dans la page, un lien vers un site wikibooks vous donnera des informations complémentaires sur le module turtle et un lien snakify sur la boucle for !
Utilisez correctement ces informations pour créer une oeuvre personnelle !
Au cycle 4, les élèves s'initient à la programmation, en développant dans une démarche de projet quelques programmes simples, sans viser une connaissance experte et exhaustive d'un langage ou d'un logiciel particulier. En créant un programme, ils développent des méthodes de programmation, revisitent les notions de variables et de fonctions sous une forme différente, et s'entraînent au raisonnement.
Décomposer un problème en sous-problèmes afin de structurer un programme ; reconnaître des schémas. Écrire, mettre au point (tester, corriger) et exécuter un programme en réponse à un problème donné. Écrire un programme dans lequel des actions sont déclenchées par des événements extérieurs. Programmer des scripts se déroulant en parallèle. - Notions d'algorithme et de programme. - Notion de variable informatique. - Déclenchement d'une action par un événement, séquences d'instructions, boucles, instructions conditionnelles.
Jeux dans un labyrinthe, jeu de Pong, bataille navale, jeu de nim, tic tac toe. Réalisation de figure à l'aide d'un logiciel de programmation pour consolider les notions de longueur et d'angle. Initiation au chiffrement (Morse, chiffre de César, code ASCII...). Construction de tables de conjugaison, de pluriels, jeu du cadavre exquis... Calculs simples de calendrier. Calculs de répertoire (recherche, recherche inversée...). Calculs de fréquences d'apparition de chaque lettre dans un texte pour distinguer sa langue d'origine : français, anglais, italien, etc.
En 5e, les élèves s'initient à la programmation événementielle. Progressivement, ils développent de nouvelles compétences, en programmant des actions en parallèle, en utilisant la notion de variable informatique, en découvrant les boucles et les instructions conditionnelles qui complètent les structures de contrôle liées aux événements.
Blue-Bot est un robot autonome spécialement conçu pour une utilisation scolaire. Le robot : 125,00 €Pack 6 robots + station d'accueil : 759,00 €
En mathématiques, décrire un ensemble consiste à indiquer quels objets en font partie. Il existe plusieurs manières d'écrire un ensemble, chacune ayant ses avantages. Voici un tour d'horizon des notations les plus utilisées, du collège au lycée.
La forme la plus classique consiste à lister tous les éléments, entre accolades et séparés par des points-virgules :
Exemple :
{2 ; 4 ; 6 ; 8 ; 10}
désigne l’ensemble des cinq premiers nombres pairs strictement positifs inférieurs ou égaux à 10.
Lorsque l’ensemble contient trop d’éléments, ou est infini, on peut utiliser des points de suspension pour faire comprendre le schéma :
Exemple :
{2 ; 4 ; 6 ; 8 ; 10 ; …}
désigne l’ensemble des nombres pairs strictement positifs.
Quand on connaît le premier et le dernier terme, et qu’aucune ambiguïté n’est possible sur la régularité, on peut écrire :
{2 ; 4 ; 6 ; … ; 28 ; 30}
Cela signifie qu’on prend tous les nombres pairs de 2 à 30, inclus.
On peut aussi définir un ensemble par une propriété caractéristique que doivent vérifier ses éléments.
Cette notation utilise souvent le symbole ∈ (appartient à), accompagné d’une barre verticale ( ∣ ) signifiant "tel que" :
{n ∈ ℕ ∣ n est pair}
se lit : "ensemble des entiers naturels n tels que n est pair".
On peut aussi définir un ensemble en décrivant une formule qui donne tous ses éléments :
{2m ∣ m ∈ ℕ}
Ici, on explique que tout nombre de l’ensemble est obtenu en multipliant un entier naturel par 2.
Ces deux notations décrivent le même ensemble, mais selon deux points de vue différents :
– l’un par propriété (pair),
– l’autre par expression explicite (2m).
Voici comment traduire certaines notations ensemblistes en langage Python, ce qui peut être utile en algorithmique ou pour manipuler des ensembles en programmation.
A = {2, 4, 6, 8, 10} print(A) # Affiche : {2, 4, 6, 8, 10}
# Ensemble des 10 premiers nombres pairs B = {2 * i for i in range(10)} print(B) # Affiche : {0, 2, 4, 6, 8, 10, 12, 14, 16, 18}
# Nombres pairs inférieurs à 30 C = {n for n in range(1, 31) if n % 2 == 0} print(C) # Affiche : {2, 4, ..., 30}
# 2m pour m de 0 à 20 D = {2 * m for m in range(21)} print(D) # Affiche : {0, 2, ..., 40}
Et pourquoi pas le Site de Wouf comme page de démarrage sur Internet?
Une page légère et simple, avec des liens, des infos, des conseils, un peu de culture... Que demander de plus!